Warning: Undefined property: stdClass::$subjects in /home/clients/35666af5317ba4b26577e5dc7df1a2a0/web/wp-content/plugins/openbook-book-data/openbook.php on line 222
L’excellent livre du neurologue Laurent Cohen que je viens de dévorer s’appelle en fait « Pourquoi les filles sont si bonnes en maths: et 40 autres histoires sur le cerveau de l’homme » [1], mais le seul reproche que je lui ferai concerne justement ce titre marketing qui dénature l’une des 40 histoires intitulé « Les filles (ne) sont (pas) nulles en maths ».
Les 40 histoires thématiques et peu dépendantes les unes des autres sont courtes, écrites sous forme de dialogue « question – réponse » qui les rend très accessibles au public non scientifique (juste quelques noms de parties du cerveau ça et là), et regroupés en 6 chapitres:
- Histoires de mémoires (sur les amnésies)
- Histoires d’enfants (sur l’apprentissage)
- Histoire morales et dégoûtantes
- Histoires de voir (sur l’importance de la vision)
- Autres histoires de cerveau
- Histoire de médecine et choses utiles.
Chaque histoire se réfère à des expériences scientifiques récentes ou des cas de patients répertoriés dont le lecteur curieux peut trouver les références dans les dernières pages du bouquin. Voici les histoires que j’ai préférées (spoiler alert…), avec les références scientifiques copiées du livre en fin d’article.
Parfois, plus que les résultats eux-mêmes c’est l’ingéniosité des expérimentateurs qui étonne. Par exemple dans « les records d’une tête de linotte », les scientifiques ont donné à des casse-noix d’Amérique des cacahuètes et des petits vers dont ils sont friands et qu’ils sont allés cacher une fois repus. Ensuite, les oiseaux relâchés après une courte période allaient majoritairement chercher les vers, alors que ceux relâchés plus tard « savaient » que les vers ne seraient plus là et sont allés chercher les cacahuètes, démontrant ainsi que ces oiseaux mémorisent l’emplacement de leurs cachettes non seulement dans l’espace, mais aussi dans le temps [2].
L’importance d’une bonne expérimentation apparaît aussi dans « douze bombons valent mieux que quatre ». Une célèbre expérience conduisit Jean Piaget à affirmer (dans les années 1930?) que la notion de nombre abstrait n’apparaît que vers 7 ans. Mais en reproduisant l’expérience avec des bonbons plutôt que des cailloux en 1967, on s’aperçut que des 2 ans déjà un enfant sait très bien qu’il y a plus de bonbons sur la ligne où on en a serrés 12 plutôt que sur celle ou il y en a 4 très espacés [3]. Plus récemment encore, on a montré que des bébés associent déjà un nombre de syllabes répétées comme « babababa » plutôt à un groupe de 4 objets qu’à un groupe de 8 [4].
En passant, il n’y a pas que les oiseaux, les bébés (et moi) dont le comportement dépend de l’appétit. L’histoire du « petit déjeuner du juge » montre que des décisions de justice sont systématiquement et fortement influencées par l’heure à laquelle elles sont prises [5]. C’est peut-être la plus effrayante des expériences relatées dans ce livre…
Le chapitre « Histoires de voir m’a particulièrement intéressé parce qu’Annick travaille avec des enfants et jeunes aveugles et malvoyants. Toutes les histoires de ce chapitre sont passionnantes, mais j’ai une préférence pour l’histoire de la dame aveugle depuis l’enfance et virtuose du Braille victime d’un AVC. Depuis elle ne peut plus du tout lire le Braille parce que la zone de son cerveau malheureusement touchée par son AVC est celle… de la vision [6]
Le chapitre que j’ai trouvé le plus intéressant est « imagination et maladie d’Alzheimer ». Il concerne le « réseau du repos » (« default mode network« ), la partie du cerveau qui s’active quand nous ne faisons rien de particulier, quand nous ne nous concentrons pas sur une tâche particulière. Il semblerait que ce soit elle qui nous permet de rêvasser en nous projetant dans le passé ou le futur, ou ailleurs [7]. Et c’est dans cette zone que la maladie d’Alzheimer provoque le plus de micro-lésions [8]…
Paru il y a un an, ce livre passionnant et très facile à lire vient d’être édité en poche : plus d’excuse pour ne pas le lire.
Références:
- Laurent Cohen "Pourquoi les filles sont si bonnes en maths: et 40 autres histoires sur le cerveau de l'homme" (2012) Odile Jacob ISBN:9782738129253 WorldCat Goodreads Google Books
- Clayton NS, Dickinson A. J « Scrub jays (Aphelocoma coerulescens) remember the relative time of caching as well as the location and content of their caches. »Comp Psychol. 1999 Dec;113(4):403-16. (PubMed)
-
J. Mehler and T. G. Bever, “Cognitive Capacity of Very Young Children,” Science, vol. 158, no. 3797, pp. 141–142, Oct. 1967. DOI: 10.1126/science.158.3797.141
- V. Izard, C. Sann, E. S. Spelke, and A. Streri, “Newborn infants perceive abstract numbers.,” Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America, vol. 106, no. 25, pp. 10382–5, Jun. 2009.
- S. Danziger, J. Levav, and L. Avnaim-Pesso, “Extraneous factors in judicial decisions.,” Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America, vol. 108, no. 17, pp. 6889–6892, 2011.
- R. Hamilton, J. P. Keenan, M. Catala, and A. Pascual-Leone, “Alexia for Braille following bilateral occipital stroke in an early blind woman.,” Neuroreport, vol. 11, no. 2, pp. 237–40, Feb. 2000.
- K. Christoff, A. M. Gordon, J. Smallwood, R. Smith, and J. W. Schooler, “Experience sampling during fMRI reveals default network and executive system contributions to mind wandering.,” Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America, vol. 106, no. 21, pp. 8719–24, May 2009.
- R. L. Buckner, A. Z. Snyder, et al. “Molecular, structural, and functional characterization of Alzheimer’s disease: evidence for a relationship between default activity, amyloid, and memory.,” Journal of Neuroscience, vol. 25, no. 34, pp. 7709–7717, 2005.
9 commentaires sur “40 histoires sur le cerveau de l’homme”
Merci pour cette petite chro qui donne envie de lire. Moi aussi je me passionne depuis quelques temps pour les neurosciences. Je sens que je vais me précipiter chez amazon !
BonTout,
Il est vrai qu’il faut pousser le son au maximum pour écouter la conférence de N.Lygeros, (j’étais présent mais pas à la prise de cette vidéo pas très …prise pas très intelligente il faut bien le dire.) et si je vous y ai envoyé sur mon dernier post c’était pour vous montrer que, probablement, nous n’arriverions pas à nous comprendre, vu qu’une constatation s’impose qui était abordée par l’un des sujets dudit Pr : ‘’on ne voit que ce que l’on a compris.’’ Et donc, parvenir à expliquer quelque chose à quelqu’un c’est ‘’comme’’ (cf. l’analogie cœur de la pensée …) lui rendre la vue, autrement dit et universellement … faire un miracle. Pardon : ‘’comme’’ un miracle
Maintenant, et vraiment pour clore ce débat fait de ‘’comme billevesées’’ circulant entre nous comme de billes …visant … (bon !), voici donc l’expérience UNIQUE, dite ici CRUCIALE puisque faisant se rencontrer et donc s’unir en se CROISANT mécanique quantique et relativité(s) .
Vous avez ‘’’probablement’’ lu l’expérience que je propose depuis ( ? … !) et qui, soit dit en passant, peut aujourd’hui être faite sur notre Terre en laboratoire vu les instruments perfectionnés de la science expérimentale contemporaine. Cf. sur mon blog.
A ajouter à ladite expérience : Tout autour et à faible distance du point d’émission des photons uniques, autrement dit directement AUTOUR de la sortie des canons à électrons uniques fixés en ‘’haut’’ du mat, nous disposons en cercle les avatars déguisés en anges des meilleurs protagonistes de la pensée fondamentale depuis, voire avant que maths via Usalem (cf. le fameux patch sur le web) prennent les rennes sur la cabbale … (jeux de maux …) des jeux … d’échecs et autres.
Se tenant donc par les ailes, et disposant en leurs mains de tous les appareils d’observation en vogues aujourd’hui, nos expérimentateurs vont devoir observer-mesurer, et donc classer dans un domaine particulier, les ‘’objets’’ sortant du canon émetteur.
1 : Dans un premier temps ils n’observent-mesurent rien : le photon émis ne possède donc pas la caractéristique d’une onde électromagnétique qui est de s’étendre instantanément dans tout l’espace.
2 : Il leur est alors demandé de resserrer le cercle et d’effectuer une nouvelle observation-mesure : SUR CE CERCLE ils concluent alors tous que ce qu’ils observent est une ondulation TRANSVERSALE, autrement dit un SOLITON EN FORME D’ANNEAU …
3 : … et comme ledit soliton ratte la cible fixée au pied du mat sur le vaisseau vu que celui-ci a changé de vitesse dans …L’ESPACE … exit les agitation, coup de fouet, délire, ébullition, échauffement, énervement, enthousiasme, fébrilité, fermentation, fièvre, frénésie, griserie, incitation, nervosité, remue-ménage, stimulation, stimulus, turbulence heu … relatives.
Fasse que cette union … pour tous … porte de beaux fruits.
Merci tout de même pour ces quelques moments de ‘’pseudo’’ partage.
M&A J
.
Ps. Si vous pensez que j’ai, de quelque manière que cela soit, un compte à rendre ou à remplir, vous pouvez, en tant qu’hôte évidemment, m’inviter en SUISSE… Jean … serait ravi.
BonTout,
Vous écrivez :
[ Donc là j’ai déjà passé un peu de temps à décrypter, raccourcir et clarifier selon ma compréhension le passage que j’ai interprété comme étant une faille de la physique que vous tentez de combler : « puisque le plan de polarisation de la lumière subit une rotation sous l’action d’un champ magnétique (effet Faraday) il est incompréhensible que cette (polarisation de la ) lumière … ne subisse pas une rotation (déviation) sous l’action d’un champ électrique … ? » ]
Là, et au sujet d’un champ électrique agissant (ou ‘’traversé‘’ ce qui revient au même) par un rayon de lumière (rayon laser par exemple) je ne parlais pas de ‘’polarisation’’ mais bien de déviation de la trajectoire dudit rayon, autrement dit d’un changement de direction ‘’analogue’’ au changement de direction ‘’produit’’ sur un photon par un champ de gravitation. Cf. Einstein … Einstein qui, avec Infeld, écrivait : « Les idées fondamentales jouent un rôle essentiel dans le formation d’une théorie physique. Les ouvrages de physique sont remplis de formules mathématiques compliquées. Mais c’est la pensée, ce sont les idées qui sont à l’origine de toute théorie physique. Les idées doivent plus tard revêtir la forme mathématique d’une théorie quantitative pour rendre possible la comparaison avec l’expérience. » (in l’évolution des idées en physique)
Je n’ai jamais cherché à ABSOLUMENT contredire qui que ce soit. Pas plus Galilée, que Maxwell ou qu’Albert. De même que ce qui se passe (encore) dans mon cerveau fait que ce que je suis apprécie au premier coup d’œil ce qu’il reconnait comme esthétiquement qualifié de beau dans notre culture, de même ce qui se passe en ledit cerveau mien TROUVE plus rapidement qu’il ne cherche ‘’tout’’ disfonctionnement quelconque dans un processus physique ou autre. Et ça probablement parce qu’il a dû très tôt se ‘’dém_rdé’’, autrement dit se laver le(s) fondement(s) tout seul, réparer outils, véhicules, appareils ménagers et tutti quanti(que) tel le couteau suisse d’un MacGyver si, ici, vous avez besoin d’un lien et d’une analogie. (cf. mon actuel livre de ‘’je vais’’.)
Je ne saurais donc trop vous conseiller d’aller écouter jusqu’au bout la conférence du professeur Nikos Lygeros mise en lien dans mon post précédent, … effectivement bien trop long … bien qu’il soit dit que la nuit porte conseil. Mais l’avenir … jugera. Comme ON dit.
Voyant venir une réponse possible -de votre part- au sujet du changement de direction d’un photon produit par un champ électrique incident, ne venez pas me dire que cela serait dû au fait que ce n’est pas une CHARGE électrique : nous en avons parlé avec Dr Andréas FREUND (l’ancien du synchrotron de Grenoble cité par ailleurs) et sommes tombés d’accord sur le fait qu’une ligne de lumière synchrotron devrait, selon l’interprétation maxwellienne, être déviée de sa trajectoire par un fort chant électrique : ce qui n’est pas le cas.
Bon ! Je vais en resté là, n’ayant croisé votre blog que lors de la re-recherche d’un encart lui aussi croisé trop rapidement (et qui semble avoir disparu) au sujet d’une association sise à l’université de Grenoble (Cortex … ?) et dont les membres pourraient peut être se pencher sur les textes de ma théorie afin de les rendre consommables voire seulement buvables par tous.
Derniers liens pour deux articles plus qu’intéressants sur le portail ‘’Café des sciences’’ où j’ai croisé votre blog :
1 : http://philoscience.over-blog.com/article-a-la-recherche-d-une-hypothetique-realite-sous-jacente-au-monde-quantique-108816938.html
2 : http://philoscience.over-blog.com/
Jean dit M&A J.
Si, je vais vous dire que le photon n’ayant pas de charge, il n’est pas dévié par un champ électromagnétique. Vous pouvez intuitivement (donc pas bien) le voir comme une charge oscillante entre le positif et le négatif, donc ne recevant en moyenne pas de force en traversant un champ nettement plus large que sa longueur d’onde, de l’ordre du micron dans le visible. Par contre, pour des champs plus étroits que la longueur d’onde, l’onde électromagnétique du photon est effectivement perturbée, mais un peu comme pour la force de Coriolis l’effet est inattendu : ce n’est pas la direction du photon mais la « polarisation » de son champ qui est perturbée. (messieurs-dames les physiciens voudront bien me pardonner cette over-simplification)
La conf. de M. Lygeros est hélas inaudible, et j’avoue que je ne vois pas bien le lien entre physique et intelligence (je fais un peu l’avocat du diable, là…). Je veux dire par là que d’une part je ne vois pas le lien entre ces noms que vous me citez et des travaux en physique, et d’autre part et surtout que la physique concerne l’observation de la nature, donc l’EXPERIENCE. Une autre théorie intellectuelle aussi merveilleuse soit-elle qui explique parfaitement tout ce que nous observons dans la nature ne m’intéresse pas : la physique quantique+relativiste le fait déjà parfaitement bien. Le seul intérêt d’une nouvelle théorie est de pouvoir se distinguer de la quantique+relativiste par UNE SEULE EXPERIENCE.
Bonjour,
Merci pour votre réponse rapide et documentée, mais à mon humble avis par trop … rapide…
Et cela d’autant plus que je n’attendais pas de réactions relativement au contenu théorique de mon blog de votre part directement sur votre propre blog, ce que j’avais explicitement spécifié en fin de mon 1er post en ces termes : « Si donc vous avez des critiques et conseils vous pouvez ‘’me joindre‘’ via mon blog. » (cf. ‘’me joindre‘’ au dessus de l’avatar dudit blog.)
C’est parce que, en début de cette année, j’avais pu constater de déplorables modifications dans mes façons de m’exprimer verbalement -voire de penser- dues à la SEP qui me mine, que j’avais ‘’jeté‘’ sur ce blog l’essentiel d’un(e) ‘’œuvre‘’ que j’estimerai ‘’ par et pour moi achevée‘’ lorsque -et uniquement lorsque- la théâtrale représentation en sera transcrite dans le moyen d’expression contemporain qu’est l’animation en image de synthèse.
Comme toute simulation sur ordinateur il est évident que cette représentation ne sera pas à considérer comme une ‘’preuve expérimentale‘’. Et pour être allé rencontrer (si peu longtemps et entre autres …) Cédric VALLANI à Archamps ce 29 mars (Centre de Convention, porte sud de Genève …) sur les conseils de Mr Andréas FREUND, PhD en physique, spécialisé en mécanique quantique et cristallographie, retraité des instituts ILL et Synchrotron de Grenoble, venu me rendre visite lors d’un déplacement en cette ville et cela après qu’il ait été plus qu’intéressé par le contenu de mon blog où il avait ‘’reconnu‘’ en la structure par moi proposée de l’électron (ce mini trou noir que l’on ignore …) une structure ‘’phénoménologique‘’ (voire ‘’mécaniste‘’ … pourquoi pas … ! ? ) identique à celle qu’il pensait être celle d’un trou noir, structure d’un trou noir hyper massif qui était aussi la conclusion s’imposant dans ma théorie et que je n’avais pas encore voulu ajouter à un ‘’scénario‘’ déjà bien assez … osé, glosé et non formalisé dans le langage mathématique…
Plus que sur la nature du quantum d’énergie que remet en cause la nature de la lumière (Champ-Onde-Corpuscule autrement dit 3 en 1…) et qui s’impose comme le seul postulat à la base de la théorie du TOUT modestement proposée en mon blog (mais si mal explicitée et exposée …) j’attendais que vous me repreniez sur les expériences préconisées et qui contredisent ‘’le mouvement comme rien‘’ de Galilée dont le concept a été repris par Einstein, expériences étudiées dans les années 1990 – 1995 par des universitaires professeurs et directeurs d’universités de physique à Lyon (J. Gréa Université Claude Bernard) et à Grenoble (J.C. Pebay-Peyroula université Joseph Fourier) expériences étudiées donc et que ces universitaires ne sont pas parvenus à contredire vu que des résultats les confortant sont observés chaque jour de par le monde et l’univers. A tel point que ces résultats, par trop voyants, semblent avoir crevé les yeux de qui, au son des trompettes et tromperies de la renommée, ne veut pas les voir.
Je leur doit beaucoup de ce que je sais et n’ai de ce fait rien contre les Galilée, Maxwell, Einstein, Heisenberg et consorts. En leur temps Ils ont intellectuellement produit, voire dépassé ce qu’ils pouvaient. Le fait est qu’en modifiant ainsi notre environnement cognitif en le faisant évoluer ils ne touchaient pas encore à l’absolu de ‘’ce qui est ‘’ et qui n’est pas qu’une vitesse, celle de la lumière en l’occurrence. Oui Einstein a reçu le prix Nobel pour son explication-formalisation de l’effet photo-électrique. Mais c’est précisément cet effet, poussé au bout de ses possibilités explicatives, qui participe à mettre ses relativités dans le panier des théories dépassées.
En comprenant, voilà 40 ans, qu’un photon était probablement un soliton en forme d’anneau qui laissait derrière lui une hystérésis ayant tout d’un sillage ‘’gravifique‘’ dans un substrat emplissant tout l’espace, sillage qu’un photon suiveur (ou croiseur …) allait de préférence suivre comme l’explicite le principe de moindre action … je m’étais rendu compte que nos devanciers avaient fait fausse route en se suivant à la queue leu leu et que, si les maths avaient bien permis de cerner l’ultime vérité, elles étaient aussi incomplètes que tout langage humain (cf. le Gödel que vous connaissez …) Ainsi en 1993 je crois, j’avais refusé l’offre du professeur J. Gréa qui, me sachant membre de Mensa et face à ce qu’il avait sous les yeux, espérait, en 6 mois … ? me former aux maths ‘’dites’’ nécessaires à la formalisation de ma théorie. C’est qu’alors je n’avais pas terminé mon cheminement et pensais (à juste titre semble-t-il …) que la mnésique absorption du corpus nécessaire à satisfaire les mathématiciens-physiciens allait consumer mon imagination, autrement dit me bruler la cervelle aussi surement qu’une balle y faisant son trou …
Vous écrivez : « Vous ne pouvez pas interpréter la collision de photons gamma dans un accélérateur du XXIème siècle à la lumière de la physique du XIXème. » Ce qu’à l’évidence je ne fais pas puisque, expérience cruciale faite au lycée et dite de la limaille de fer à l’appui, limaille étalée sur une feuille ‘’percée par‘’ et entourant un fil conducteur d’électrons, expérience réinterprétée à l’aune de ce que nous savons aujourd’hui, il est possible de conclure qu’un photon émis par un électron est cette boucle dite magnétique qui le ceinture à l’instar de la vague d’étrave d’un sous-marin ou d’un avion supersonique et qui vague se détache de cet électron lorsqu’il change de direction ou est stoppé.
Et dans l’exposé d’un blog mal fagoté parce que venant d’un autodidacte sans expérience, sans diplômes, non mathématicien, non polyglotte … non … mais à 27 ans tout de même certifié Mensan à la suite d’une lecture et de tests psychométriques faits par ‘’jeu’’ et l’ayant amené à se faire ‘’examiner’’ … et dont, aujourd’hui à 64 ans, c’est le second ‘’grand‘’ écrit d’une vie, vous ne manquerez pas de remarquer que la boucle magnétique ‘’objectivant’’ un photon gamma est comme suivie d’une trainée hystérésis gravifique -si courte soit-elle- (cf. et en analogie la trainée d’un bateau sur l’eau …) et qui, en se bouclant sur elle-même après interaction avec un autre photon gamma, et ainsi en bouclant la trajectoire dudit gamma ‘’matérialise‘’ une charge électrique qui pulse et …
A propos de Maxwell et de ses équations sur lesquelles reposent toute l’interprétation dite de l’électromagnétisme, Mr Andréas FREUND, le PhD chercheur retraité du synchrotron de Grenoble, est tombé d’accord avec moi sur le fait que, puisque le plan de polarisation de la lumière subissait une rotation sous l’action d’un champ magnétique (Cf. effet Faraday et deux champs magnétiques mis en présence l’un de l’autre) il était incompréhensible que cette lumière en propagation dans le ‘’vide‘’, autrement dit que ce rayon de lumière qui, selon Maxwell, est composé d’un champ électrique pulsant perpendiculairement à un champ magnétique, ne subisse pas une déviation sous l’action d’un champ électrique … ? Vu que c’est ce qui se passe partout dans l’univers lorsque deux champs électriques sont mis en présence l’un de l’autre : ainsi soit ils s’attirent, soit ils se repoussent. Mais re-bon ! Ici de champs point … aurait pu dire une certaine bimbo : à l’eau quoi !
Allez ! Fin de discours. Ici l’anneau de lumière porté par un substrat emplissant tout l’espace est ce rasoir d’Occam qui nous suffira vu qu’à lui seul dans son environnement porteur il permet d’établir un paradigme qui s’impose en montrant comment notre Univers a pu évoluer de ce « O » à la cellule porteuse de vie et d’avis qui, encore, m’anime.
Aussi, puisqu’une animation en image de synthèse ne devrait pas prendre plus de quelques heures à produire à l’artiste sachant se servir du programme adéquat et pourrait valoir plus que 10 à la puissance 10 mots, et vu que je ne trouve personne pour me rendre ce petit service -pour lequel il m’était demandé une fortune par minute voilà bien une vingtaine d’années- je vais m’atteler à ce dernier ouvrage à l’aide soit d’un programme dit ‘’moteur de jeux vidéos‘’, soit d’un programme de biologie proposé par une récente connaissance. Soit … Mais bon !
Mais revenons à nos moutons et donc à nos cerveaux. Mais avons-nous vraiment changé de sujet … ?
Le 23 mars, toujours en vue de l’expertise ‘’mathématique‘’ conseillée par Andréas FREUND, le PhD cité ci-dessus, j’ai pu me faire accompagner à la conférence d’un HQI, ancien membre de Mensa, à qui je pense pouvoir demander de l’aide au vu du contenu de sa conférence et au fait qu’après présentations et une trop rapide prise de contact il m’a proposé de lui écrire pour mieux lui exposer ma problématique. Sa conférence ( dont l’enregistrement laisse à désirer.) est maintenant diffusée sur le web à l’adresse suivante :
Inutile de vous dire que, croyant tout savoir sur le QI, je pensais m’y ennuyer ferme mais que j’ai vraiment apprécier la performance (plus de 2h de paroles sans aucune note) l’humour et, accompagné de quelqu’un de ma famille, j’ai fini par ‘’sentir‘’ le regard de cette personne peser un peu moins lourd sur mes épaules vu que, et vous le savez : nul n’est prophète en son pays. Encore moins chez les smicards.
Pour finir je vais ici faire un rapide tour d’horizon pour voir si j’ai répondu à toutes les remarques à vous demandéees au sujet de mon blog.
1 : je crois avoir répondu
2 : ‘ ‘ ‘
3 : j’ai lancé ce ‘’blog‘’ pour essayer de surmonter un grave moment de spleen et ne suis que très peu revenu dessus. Ainsi je n’ai pas encore trouvé le courage de faire le résumé conclusion qui je crois s’impose.
Hélas pour vous les effets nouveaux dont vous parlez sont bien présents : les forces ne sont plus toutes transmises par des ‘’particules‘’ de forces mais par des ‘’effets d’espace‘’ que l’on peut qualifier de polarisations d’un espace quantique.
Ainsi si la gravitation liée à la ‘’matière‘’ a pu, dans la relativité générale, être décrite par la géométrie riemannienne, il est vraisemblable (…) qu’elle ne pourra, dans le langage mathématique, qu’être toujours décrite que ‘’comme‘’ une courbure géométrique de l’espace, et cela alors que dans ma théorie la gravitation d’un électron s’impose comme liée à la courbure prise par la trajectoire-hystérésis de son photon gamma constitutif, lors de la transition de phase donnant naissance à la matière (cf. l’électron de mon modèle), hystérésis bouclée et donc courbée dans laquelle tout photon amené à la croiser se propagera préférentiellement à toute autre trajectoire (cf. principe de moindre action.)
La gravitation d’un astre sera alors égale à la somme des actions préférentielles (ou réactions … ?) produites par les trainées hystérésis laissées dans le substrat spatial par les quantas solitons d’énergie formant les éléments de la matière constitutive de cet astre. Ainsi toutes ces trajectoires-hystérésis qui se sont bouclées sur elles-mêmes peuvent s’interpréter comme une polarisation du substrat quantique emplissant tout l’espace ce qui semblerait ne pouvoir se décrire mathématiquement que comme un espace courbé. Le photon gamma constitutif de l’électron apparaissant alors comme le lieu de l’espace-temps propre à cet électron où la gravitation atteindrait une limite. (une singularité, en mathématique … ?)
Dans cette théorie un proton serait alors ‘’analogue‘’ à 3 électrons dont les ‘’boucles‘’ auraient été coupées puis ressoudées de façon à former un nœud composé de 3 boucles s’interpénétrant sans se toucher et dans lesquelles se propageraient trois quanta (bosons ? autres) en ‘’comme‘’ s’y ‘’pourchassant‘’. Mais bon ! Seule une animation faite d’images de synthèse pourrait rendre compte au mieux de ce ‘’machin‘’. Aussi je planterai là cette graine sans plus me tordre les méninges.
4 : à part un petit mémoire d’une trentaine de pages écrit et distribué en 1991 en recommandé et en une vingtaine d’exemplaires je n’ai pas écrit de bouquin. Et si j’ai ouvert mon blog sous un pseudo d’artiste passant ses idées au crible de l’esprit scientifique, si j’y ai fermé les commentaires après quelques semaines lorsque le pire comme aussi et hélas le meilleur ont commencé par s’y manifester c’est pour ainsi montrer que, autodidacte ayant eu à payer moi-même mes livres je ne dois rien à personne, solitaire et plus près de la nature que de la culture je tiens à ce ‘’qu’on‘’ me fiche une paix plus que royale jusqu’à la fin, n’ayant jamais pratiqué j’ai horreur des lèches culs comme aussi des lèches cultes et … Mais bon ! Je pense que ça ira comme ça ./
5 : je crois avoir répondu.
6 : Si vous avez bien suivi mon modèle explicatif de la formation ‘’matérielle‘’ d’une paire électron positon à partir de l’énergie pure transportée par deux photons-solitons-anneaux gamma, alors vous devriez rapidement comprendre que le modèle standard de la physique et son champ de bosons dit de Higgs ne sont, pour ma théorie, que des divagations mathématiques de même que le sont de nos jours les modèles mathématiques mis au service de la finance. Dans ma théorie, la masse d’une particule n’est que de la quantité de mouvement. Ainsi et par exemple, si nous imaginons l’espace rempli d’un substrat analogue à de l’eau, de même qu’un glaçon de cette eau pourrait être vu comme ce que nous observons et décrivons par le concept de matérialisation de ce substrat, de même des solitons de cette eau en forme d’anneaux et pris dans leurs propres sillages en y accélérant comme attirés par un champ de gravitation formerait un objet qui deviendrait vite impénétrable pour et par un autre soliton. Dans les accélérateurs de particules les expérimentateurs contemporains font ainsi -et c’est plus que probable- des anneaux solitons dans le substrat spatial (que l’on peut appeler éther, vide quantique ou autrement) aussi surement que les enfants font des ronds dans l’eau en y jetant des pierres.
7 : Les expériences proposées dans l’article ‘’de la relativité ou de l’erreur absolue’’, expériences qui n’ont pu être ‘’démontées’’ par les universitaires rencontrés en les années 1990-93 puisque effectuées quotidiennement lors de différentes manips de laboratoires et processus industriels montrent que la contraction de la longueur parallèle au sens du mouvement d’un mobile est ABSOLUE comme le pensaient Fitzgerald et Lorentz et non relative comme avait fini par nous en convaincre Einstein.
Ainsi l’expérience de Michelson et Morley ne pouvait mettre en évidence ce qu’ils attendaient vu que leur interféromètre se contractait dans le sens du mouvement de la Terre dans le substrat spatial porteur de toute énergie-matière qui s’y propage …
8 : Que je sache l’effet Doppler n’a jamais été démontré sur un seul photon. Et vu qu’un photon soliton anneau est un ébranlement transversal dans un substrat spatial, je ne vois pas pourquoi -en tant que phénomène ondulatoire- il n’interfèrerait pas avec lui-même comme il semble que cela est observé lors des expériences des fentes de Young.
9 : Soit dit en passant et correspondance à l’appui de J. Gréa entre autres, j’ai écrit l’hypothèse du photon soliton en forme d’anneau en 1990, ce qui, effectivement, n’est pas nouveau. Mais merci, je ne connaissais pas cet article vu que je ne parle ni ne lis l’anglais couramment.
10 :
11 :
12 : Mon blog étant un blog où ce qui y est divulgué est consubstantiel à ce que je suis … que je suis que je suis, la SEP qui m’a finalement poussé à l’ouvrir pour tenter d’y ‘’justifier‘’ auprès de mes proches toutes les privations occasionnées par une passion dévorante de temps et d’argent pour un smicard, il est évident que Stephen Hawking n’a pas eu à ouvrir un blog pour faire connaitre son travail, ni pour nous entretenir de son mal afin de nous prévenir qu’il a ses facultés intellectuelles et autres qui déclinent à vitesse supersonique, qu’il ne supportera pas le fauteuil roulant, vu que nous le connaissons tous et depuis longtemps comme professeur, comme écrivain, comme conférencier et comme, hélas, un grand handicapé se déplaçant en fauteuil roulant.
Quand à la nature du temps dans ma théorie, je vais être très court vu qu’il est l’heure pour moi d’aller dormir un peu : c’est de l’énergie.
D’autres, avant moi, n’avaient pas été loin de ce constat en disant que le temps c’était de l’argent. Ce nerf des ‘’guères‘’ quoi …
Amitiés. M&A J.
Je suis désolé, j’ai beaucoup de mal à vous suivre, il y a juste trop de mots et de sujets entremêlés pour moi et pas assez de liens pour me faire une idée rapidement. Je conçois très bien qu’après 40 ans de réflexions vous ayez pas mal de choses à dire, mais les internautes standards tels que moi n’ont que quelques secondes pour décider s’ils vont consacrer quelques minutes à la lecture d’un texte qui va peut être les conduire à quelques heures d’approfondissement. La science, ça doit aussi se vendre…
Donc là j’ai déjà passé un peu de temps à décrypter, raccourcir et clarifier selon ma compréhension le passage que j’ai interprété comme étant une faille de la physique que vous tentez de combler : « puisque le plan de polarisation de la lumière subit une rotation sous l’action d’un champ magnétique (effet Faraday) il est incompréhensible que cette (polarisation de la ) lumière … ne subisse pas une rotation (déviation) sous l’action d’un champ électrique … ? »
Alors effectivement ça parait étonnant donc ça motive une petite recherche Google et je tombe en quelques minutes sur :
1) cette discussion http://physics.stackexchange.com/questions/52726/why-does-light-not-become-polarized-in-a-magnetic-and-or-electric-field
2) cet article Buckingham AD, Graham C, Raab RE, « On the theory of linear electro-optical rotation », CHEM PHYS LETT 1971, 622-624. http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/0009261471801094 , dont je n’ai hélas pas (encore) trouvé de version gratuite mais qui est beaucoup référencé comme donnant une explication conforme à Maxwell de cette apparence asymétrie de comportement.
Selon cet article plus récent http://www.opticsinfobase.org/josaa/abstract.cfm?uri=josaa-14-1-131 il faudrait utiliser une formulation « covariante » des équations de Maxwell pour décrire plus facilement l’effet sur la polarisation par les molécules chirales (dont la configuration des dipolarités électriques fait tourner le plan de polarisation…)
Qu’est-ce donc que cette formulation covariante ? Google m’envoie sur la Wikipédia : http://en.wikipedia.org/wiki/Covariant_formulation_of_classical_electromagnetism que je n’ai pas le temps de creuser maintenant mais je vais le faire car, (fantastique!) pour clarifier votre incompréhension, il semble qu’il faille intégrer la relativité aux équations de Maxwell ! 🙂
Je vous remercie donc d’avoir contribué à m’apprendre quelque chose aujourd’hui, mais qui me conforte dans le sentiment que la physique actuelle est remarquablement solide et cohérente ! Il vous faudra trouver une autre faille. Encore une fois je vous recommande la matière noire et l’énergie sombre, c’est là qu’il y a encore de la place pour des théories testables.
Je décrète unilatéralement que vos réponses devront dorénavant être plus courtes que les miennes et contenir au moins autant de liens ou références. Mais vous avez le droit de poster plusieurs commentaires, ce qui permettra de structurer la discussion un peu mieux je l’espère.
Bonjour,
Passionné par la psychologie clinique et les recherches sur le cerveau depuis bien des années, et cela après avoir commencé entre autres par la lecture de l’œuvre de Paul Diel ‘’cf. la Psychologie de la motivation et autres ouvrages‘’ puis celle de ‘’L’homme neuronal‘’ et dernièrement ‘’L’Homme de Vérité‘’ de Jean-Pierre CHANGEUX, enthousiasmé par vos commentaires sur le livre du neurologue Laurent Cohen je vais le commander de ce … clavier, y étant bientôt condamné à demeure vu que ‘’SEP‘’ comme ça … Que c’est comme la maladie neurodégénérative male citée et noire d’humour… non dit.
Ceci dit je suis à la recherche d’esprits scientifiques pouvant consacrer un peu de leurs temps à la lecture et la critique du blog où est exposée, comme une bouteille jetée à ‘’l’amer‘’, une œuvre dérangeante de solitaire autodidacte bien que reçu et membre pendant 3 ans à MENSA, et revenu début mars 2012 après 37 ans d’absence. Et cela pour y chercher la contradiction voire l’aide nécessaire pour mettre en la seule forme d’expression susceptible de permettre l’exhaustivité ‘’langagière‘’ d’une telle théorie … du TOUT : l’animation d’images de synthèse.
Si donc vous avez des critiques et conseils vous pouvez me joindre via mon blog :
Un quatre à quatre pour TOUT terRIEN : une nouvelle physique.
Ou à cette autre adresse : http://bit.ly/K6t3JD
M&A J.
Bienvenue sur ce blog où les neurosciences sont un sujet relativement nouveau, mais que je compte développer car en effet, la compréhension du fonctionnement du cerveau (et de ses dysfonctionnements) est sans doute l’un des plus grands défis de la science. Merci pour les liens vers les auteurs que vous mentionnez dans ce domaine.
Après un premier parcours très rapide de votre « théorie physique », je constate qu’elle passe quelques uns des tests qui me font accepter (ou pas) des liens vers de telles pages:
De ce fait je consacre volontiers un peu de temps à une « critique constructive » de votre théorie.
Par ordre de priorité subjective décroissant:
Ce qui nous mène à plusieurs points concernant la forme. La science est une construction qui impose des liens avec ce qui a déjà été construit, et ces liens existent même si on veut détruire et rénover une partie de l’édifice. Si votre texte veut avoir la moindre prétention scientifique, vous devez:
Honnêtement je pense que ces points de forme et le ton global de votre texte peut conduire rapidement les lecteurs scientifiques à vous classer comme un « néo-mécaniste » ayant une vision très « XIXème siècle » de la physique et n’ayant pas assimilé ou accepté les implications des révolutions fondamentales que sont la théorie de la relativité et la mécanique quantique : à petite et grande échelle, l’Univers ne ressemble pas à ce qu’il a l’air d’être à votre échelle. Vous ne pouvez pas interpréter la collision de photons gamma dans un accélérateur du XXIème siècle à la lumière de la physique du XIXème.
C’est pourquoi, toujours dans un but constructif, je vous encourage vivement à lire, ou au moins consulter les travaux sur lesquels sont construits la physique actuelle. Par exemple les célèbres articles originaux d’Einstein en allemand sont là et vous permettront de comprendre comment il a (lui aussi…) basé sa théorie sur la lumière, ce qui lui a valu le prix Nobel pour l’explication de l’effet photoélectrique (exploité maintenant dans les panneaux solaires) et non pas pour la relativité ou l’équivalence masse énergie. Remarquez comme sa théorie qui forme un tout a été publiée sous forme de petits articles ciblés, avec un tout petit peu de maths et juste ce qu’il faut de références, bien loin des articles actuels hélas.
Je suis persuadé que vous trouverez autant de satisfaction, sinon plus, à véritablement comprendre la physique actuelle qu’a en proposer une alternative conforme à votre intuition. Mais si d’aventure vous y constatez une faille et pouvez proposer de la combler d’une manière un peu formelle mais surtout expérimentalement vérifiable, alors je me ferai un plaisir de vous lire.
A mon humble avis, plus que la nature de la lumière, le gros challenge de la physique actuelle est la matière noire et l’énergie sombre pour lesquelles on a des expériences qui ne collent pas avec la théorie, comme Michelson et Morley il y a 130 ans. Et aussi la nature du temps si vous préférez les implications philosophiques.
Quoi qu’il en soit, tous mes encouragements vous accompagnent tant dans votre quête du savoir que dans la lutte contre cette saleté de maladie.